rencontre importante [PV :murmure]

Stupide tas de chair
soit disant doté d'esprit
hurle ta colère
et dirrige ta vie

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T.orell

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Un immense chat noir et blanc évolue lentement autour des arbres de la forets. La vallée fruitière était derrière lui. Il ne s'était même pas arrête pour manger quelques fruits. À quoi bon? Il n'aimait pas les fruits. C'était un carnivore et dans sa première vie, il avait chérit le sang et la mort. Maintenant il ne chérissait plus rien. Même pas la vie. À quoi bon exister sans but? Errer pour l'éternité. C'était à nous une bien piètre destiné Pauvres patins du destin. Le massif chat noir pensa à ces vers avec une ponte de sarcasmes et de mépris. Il errait dans le territoire des maléfiques. Chez lui. Un refuge sans aucun intérêts. On en a vite fait le tour.

Sous ses cousinés, la terre était molle, encore humide de la dernière pluie. Un tapis d'herbes confortables recouvrait le sol. Sans un bruit, Torell s'allongea. Il fermât les yeux et repensa à son amour perdu. Il avait faillit la tuer. Il aurait du la tuer. Mais il l'a laissé en vie. Son cœur pris dans un étau de fer qui accélérait sa respiration quand il l'a voyait. Qui lui donner envi de tuer quiconque lui faisait du mal. Qui lui a fait perdre la vie pour elle. Un étau de fer implacable qui ne desserre jamais. Un étau que l'on nomme Amour. Avec un soupir il repensa aux yeux pleins de reconnaissance et de compréhension qu'elle lui avait donné au moment ou il avait rendu l'âme. Un pincement au cœur le tira des ses pensées à la foie joyeuse et triste.

Le fumet d'une souris lui chatouilla les narines. Se ramassant sur lui même, il bondit dans un détente formidable et atterri sur sa proie. Elle mourut sans un bruit sous ses griffes à la grande satisfaction du mélancolique. Une sensation d'extase l'envahit quand il senti la chair céder sous ses crocs puis fondre dans sa gueule. Un reste de sadisme supposât-il.

Lorsqu'il ne resta plus que des os, il ne prit même pas la peine de les enterrer, sachant pertinemment que les fourmis et les corbeaux s'en chargerait pour lui. S'en allant d'un pas nonchalant et sa queue balança négligemment, il chercha un rocher du coin de l'œil. Une pierre plate exposée au soleil lui parut parfaite. Chassant d'un coups de patte quelques petits insectes gêneurs et des feuille morte. Une fois de plus il s'installa à son aise, s'offrant aux rayons du soleil d'été. Ne craignant pas une attaque, il exposa son ventre et ferma lentement ses paupières.

Il dut s'assoupir puisque il émergea de son brouillard quand un hurlement retenti. Un hurlement retenti? Comprenant qu'il se passait quelque chose, il se dressa sur ses quatre pattes à une vitesse surprenante faisant jouer sa puissante musculature. Les oreilles aux aguets, il tentait de trouver la provenance de ce cris. L'odeur acre d'un chien envahit ses sens, le dégoutant. Prêt à se battre même si pour lui la vie ne valait plus rien, il invoqua deux de ses spectres guerriers. Tornade de Feu et Aile de Glace. Leurs corps constituées d'une fumée noire et compacte semblait flottait tout en écrasant le sol. Leurs yeux semblaient être matériaux. En fait, les deux chats l'étaient sans l'être. Il subissaient les coups mais très faiblement tout en les distribuant comme de vrais corps. Les volute de fumée rouges, orangées du corps de Tornade de Feu indiquait sa véritable couleur. Ces volutes ressemblaient à une trainée d'encre qui s'écoulait dans l'eau mais sans jamais s'y mélanger. L'attention des trois chats était à son summum.

Messages : 24 Points d'activité : 41 Date d'inscription : 18/09/2009

Je vis ma mort
Dans un monde sans mur
Comme si tu valais de l'or
Et moi un M.urmure...

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M.urmure

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L. e vent chaud souffla dans ses moustaches. Cette journée d'été semblait comme les autres, sans importance. Pourtant, elle avait une impression étrange, inconnue. Ses yeux de glaces balayait ici et là une assez belle clairière qui se situé sur les territoire des maléfiques. Une chatte blanche prit une grande respiration et s'allongea. Le soleil l'éblouissait et de petits nuages glissait dans le ciel. Pourquoi restait t-elle a erré dans un monde qui n'avait aucune importance a ses yeux? Les anciens avait dit qu'après la mort, il y avait une autre vie. Il ne croyait pas si bien dire!

L.e cœur léger, elle s'échappa du côté du vent. Une douce odeur de moisi se fit sentir et la mousse sous ses pattes, était fine. Une fine écharpe de brume s'installa et la chaleur de la journée se changea en fraiche brise. M.urmure se pelotonna contre une fourrure brune. Une fourrure? Elle se retourna et ouvrit de grand yeux de stupeur. Deux Mâtins dormait l'un à côté de l'autre. Le mâle se leva et toisa la jeune chatte d'un air indigné. M.urmure hurla de stupeur en réveillant le deuxième chien. De peur, la chatte ne pouvait d'abord plus bouger. Puis ses muscles reprirent de la force et elle s'enfuit vers la forêt aux arbres noir acres à cause d'un feu.

E.lle couru, couru jusqu'à l'épuisement. La chatte n'en pouvait alors plus du tout et grimpa dans l'arbre le plus grand. Elle tremblait de peur pendant que les chiens, tout crocs et griffes dehors. Sa vue se brouilla pendant qu'en animal noir accompagné d'un chat blanc et un autre roux se rué sur les chiens bruns. La mort dans l'âme et près de l'évanouissement, M.urmure descendit de l'arbre pour aller se battre. Le regard du chat noir l'interrompit dans sa descente et leur regard se croisèrent. La chatte se sentit fondre sur place. Le mâtin profita de cette instant d'inattention pour sauter sur le chat d'encre. M.urmure croyait qu'il n'allait pas s'en sortir...

Ombre maléfique sous la lune
esprits brisés, du sang versé
dans un paysage de pierre et de runes
cœur desséché

Des chiens! Il y en avait ici aussi?! Apparemment oui. Avec un sourire sadique il se dit que des crétins pareils ne pouvaient pas être réincarnés et que donc ils ne reviendraient plus. Les formes du fumés semblaient flotter pourtant, quand leurs pattes touchaient le sol, elle semblaient le marteler de coups furieux. Ce n'était pas une illusion puisque l'herbe s'écrasait et les empreintes restaient. Mais, ces corps semblaient flotter tout en étant lourds et écrasants. Les trois «chats» courraient à toute vitesse, Torell en tête. Il compris que les chien ne suivaient pas une simple proie en voyant descendre une chatte d'un arbre. Le regard du chat noir accrocha celui de la nouvelle venue. Elle avait des yeux d'un bleu absorbant. Les même yeux que celle qu'il avait aimé. Un dès chiens fonça vers la jeune chatte. L'ancien sadique bondit et atterrit sur sa truffe, s'y cramponnant fermement de ses pattes avants et labourant la lèvre inférieur. Aile de Glace labourait les flans du même molosse. Aile de Glace labourait les flans de molosse on Torell labourait les flans du molosse à travers Aile de Glace? La deuxième solution. Il en avait toujours était ainsi. Le matin ouvrit sa puissante mâchoire d'un geste vif pour broyer les pattes du chat noir. Se dernier s'arcbouta, faisant passer son imposant corps par dessus sa tête. C'était un tueur. Il en avait gardé les geste, la technique. Se retrouvant sur le dos du chien, il l'entailla aidé par Aile de Glace. Torell jeta un rapide coup d'œil à la chatte aux yeux infinis. Il était cruel, c'est vrai. Mais il avait appris l'importance de la vie. Il ne rechignait pas à tuer mais ne le faisait plus pour le plaisir... enfin, presque plus.

HJ:Disow de ce rp pourri u_u

Messages : 24 Points d'activité : 41 Date d'inscription : 18/09/2009

Une étoile à l'infinie
Le doux bruit d'un ruisseau
Prend en main ta vie
Et suis le cours de l'eau...

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M.urmure

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Leurs regard se croisa tandis que le mâtin se précipitait sur elle. Même si elle était hors d'atteinte, elle ne se sentait pas vraiment en sécurité. Le chat noir se jeta sur le chien qui filait à une vitesse folle, s'enfonçant à chaque pas lourd dans le sol boueux. Il lui lacéra le museau de ses pattes avec des griffes très pointues. L'énorme molosse voulut mordre violemment le chat fantôme, mais celui-ci fut plus rapide et le chien mordit la poussière.

M.urmure, une fois que le chien fut éloigné d'elle, se précipita vers le chat au pelage d'encre et commença à s'exclamer :

- Vous n'aurez pas dû essayer de me sauver, vous ne pouvez plus rien pour moi ! Elle dit plus bas. De toute façon, je suis déjà morte, et cela ne me dérange point.

Elle le regarda d'un air désolée et se tapis sous les feuilles d'automne, apeurée. Alors qu'elle allez recommencer à lui donner une gifle mentalement, il répliqua :

Ps :Si tu a pas envie de répliquer, j'édite.

je suis désolée dece temp de réponse j'écris le rp demainet le poste promis!
encore désle...

Messages : 24 Points d'activité : 41 Date d'inscription : 18/09/2009

Pas de problème ! =D